Je couchais alors sur une page blanche cette question : Tu pêches à la mouche ?
Puis l’inspiration vînt et me remémorant mon propre parcours de pêcheur, je commençai à écrire ce qui m’avait amené à ne plus vouloir pêcher qu’à la mouche. Guidé par mes bonnes lectures (John Gierach, John D. Voelker, David James Duncan ou encore Edward Abbey), je retrouvais dans les pensées philosophiques de ces auteurs ce qui continue, encore aujourd’hui, à m’attirer au bord de l’eau. Mon texte était prêt, vu et revu, corrigé plusieurs fois, synthétisé. Ne restait plus qu’à le mettre en image.